Dans Euskonews nous avons besoin de votre avis. Envoyez-le nous!
Voulez vous collaborer à Euskonews?
Arbaso Elkarteak Eusko Ikaskuntzari 2005eko Artetsu sarietako bat eman dio Euskonewseko Artisautza atalarengatik
On line komunikabide onenari Buber Saria 2003. Euskonews y Media
Astekari elektronikoari Merezimenduzko Saria
José Antonio VILLAR
L’auteur de l’essai fait référence en principe à deux problèmes qu’il assure observer aux discours sur communication aussi d’ordre général que spécifiques:
- La manque de définition
L’auditeur se voit obligé, à chaque occasion, à placer les messages sur ce concept de « communication » à la branche supposée de laquelle part l’émetteur et deviner la définition correspondante.
- L’emplacement dispersé
Chaque discipline du savoir s’attribue les connaissances des théories sur communication et ses applications, même presque le monopole... La recherche, si nécessaire encore, est faite par chacun à partir de sa perspective particulière.
À la vue de ce problème, l’auteur s’engage d’un côté à fixer, présenter, et expliquer ce qui pourrait être une définition unifiée du concept « communication » pour essayer de fuir du conflit sémantique, et d’autre, adhérer aux voix qui revendiquent une recherche, un savoir et un traitement académique multidisciplinaire qui pourrai s’englober sous le terme « Communicologie ».
Les discours se rapportant à la communication se serrent en effet généralement à l’essence, aux qualités, aux objectifs etc. des actions communicatives.
La même chose arrive en entrant sur le terrain de l’Histoire dès Théories de la Communication.
L’auteur crois que l’heure est arrivée d’en aller plus loin des parcellisations corporatistes aussi à propos de la théorie que de la pratique.
D’après l’auteur, on doit appeler Communication à « l’êtat de communication » entre les sujets concernés, et les actions, transactions et moyens employés ne seraient que ça: actions, transactions et moyens, c’est à dire, instruments.
Par conséquent, tant que ces instruments no servent ou ne se dirigent pas à atteindre l’état de communication, c’est à dire, lorsqu’ils ne sont qu’instruments, doivent être nommés tel qu’ils sont.
Les instruments (actions, transactions et moyens) sont, pourtant, nécessaires pour arriver à « l’état » et le niveau de l’emploi approprié des appropriés un conditionnant direct de la réussite vers les buts.
L’état de communication, donc, la situation remportée par le moyen des instruments:
L’état de communication entre sujets peut se proposer comme un “status social” entre ces sujets concernés.
Ce status social, évaluable, dynamique e instrumentalisable, est en príncipe d’un caractère tout à fait aseptique, sans médiations idéologiques ni d’objectifs plus ou moins vertueux, puisque l’objectif primordial, et seul en principe, est celui « d’être communiqués ».
Pour cet objectif se propose une méthodologie ayant sa base dans l’analyse des sujets, ses actions, ses transactions et ses moyens.
En partant de l’objectif plus ou moins atteint, de cet état de communication déjà obtenu, on peut aspirer à un but plus difficile, plus lointain, plus complexe, soit de caractère vertueux, pervers ou de n’importe quel ordre.
L’individu est le sujet acteur basique des actions, des transactions et des résultats conséquents, mais n’importe quelle sorte de regroupement entre individus peut être une unité active en recherche d’un « état de communication » pour l’instrumentaliser comme moyen de toucher d’autres buts.
Les groupements typiques de la société, à partir du couple jusque la multitude plus étendue, peuvent avoir le désir ou la nécessité d’établir un état de communication approprié. Ça veux dire qu’il faudra définir et délimiter un domaine.
L’auteur de l’essai suggère l’entreprise comme un des domaines les plus intéressés et concernés et il l’en dédie le dernier chapitre.
L’entreprise devrait comptabiliser son état de communication à l’avoir ou le doit de son capital social. Il s’agit d’un capital intangible mais évaluable, à gérer, et instrumentalisable qui affectera, sans aucune doute, à sa permanence comme entité génératrice de bienêtre.
Opinion des lecteurs:
comments powered by Disqus